Ca commence bien dans le bunker...

Dans l'Outpost bunker, on peut dire que tout allait bien.
Le téléphérique fonctionnait.
Un grand ménage avait débuté ainsi qu'une petite reconnaissance des pistes qui avait commencé.

Le propriétaire des lieux avait organisé un grand déménagement de Redvault à l'Outpost, mais il avait fait tout ce qu'il fallait le serbe.
Et la bouffe c'était son putain de truc à lui!

Alors voila que secretement il avait stocké des quantités de bouffe astronomique.. Et pour ça, et ben il avait remis sur pattes une chambre froide, avec le thermomètre tout ça tout ça! Du grand matos de resto!

Sauf que ce matin, et ben la chambre froide elle affiche 20° à 09H00 du mat, elle fonctionne plus... Et ça ça la fout mal...

***
PNJ : "l'homme" à tout faire du Serbe : a imaginer avec une vingtaine de poils noirs au menton, sur les bras... la même chose avec des traits masculanisés sur certains aspects, qui garde le côté "féminin" un peu quand meme.


"l'homme" à tout faire du Serbe était un savant mélange d'hormone mâles et d'hormone femelle... Du coup il avait pas trop la classe, voir ça lui arrivait de se prendre des petites claques sur la nuque... Ca faisait un ou deux mois que le Serbe l'avait chopé devant la station, ce gros abruti servait à récurer les chiottes, enlever les mauvaises herbes.. Sympa le mec non?

Oh mais merde, oh mais merde!
Putain, 20 degrés mais ça poutre sévère là!
Faut garder toute cette bouffe en état, faut s'organiser! PUTAIN faut prévenir Milo!

Vers 09H15, Milosevik est prévenu que sa chambre froide déconne grave, son mec à tout faire en personne qui vient le prévenir... Putain, en plein entrainement, et il en a pas fini avec la Mona qui a tant de trucs à apprendre!

"- Tu es certain ? Le termo n'est pas en rade ?"

Bah euh... ouais bah oui qu'j'suis sur, jviendrais pas vous déranger ça non!

"- On va jeter un coup d'oeil. Viens."
Horacio se met à suivre Misosevik, en bon toutou qu'il est.

"Tu as vu la température basse sur le thermomètre extérieur ou intérieur ?"
Euh extérieur pourquoi?

"- Milo là...
Quelqu'un peut partir sur le champ vérifier le fonctionnement du groupe froid ?
Qu'il n'aille pas seul... possible qu'il y ait un problème.

Jess attendra les explications de "?"... et une fois arrivé sur les lieux il regarde le sol et l'aspect extérieur de la chambre froide."

Quand il arrive, le sol et l'aspect extérieur de la chambre froide n'ont rien d'anormal... la température semble avoir dégringolé...
Chose étrange, c'est quand même bizarre que la chambre ait réchauffé si vite... même en cas de coupure...
N'empeche... il fait quand même chaud par ici comparé aux autres pièces...

Bizarre bizarre...

Horacio : En tous cas, moi jsuis arrivé c'était comme ça...
Le mec se mordille les lèvres.. soit il flipe pour son grade, soit il a un truc à se reprocher...

Mais qu'avait il fait ce fou ?
Fallait être fou pour changer de sexe... déjà. Mais là se sont les paroles de l'homme-femme qui foutent les boules au Serbe.
" C'était pour la station et pour le bien de touuuuuus "
Un peu comme un fanatique qui balance ça après avoir foutu le feu à un immeuble. Le feu... ce que se dit Milo avant de tirer la lourde porte.
Il s'arrête, reste bien derrière la porte et entre-ouvre la chambre froide pour ne pas recevoir de flammes si ce type avait mis le feu.
De son autre main il garde son arme prête à emploi.

(Si rien ne se produit, Milo recule tout en tirant la porte. Il reste hors de porté d'Horacio et de l'entrée de la réserve... passant ses yeux sur l'homme et la pièce plusieurs fois.)

(La pièce est juste à 20 degrès, y a rien de choquant... la bouffe est la...sans le froid, y a une ptite odeur de viande qui chatouille les narines, de sang aussi (le sang de la viande, pas un cadavre), mais à part ça y a pas de problèmes supplémentaire)

Horacio :

Nooon mais je vous jure Monsieur Milosevik... S'il vous plait!

NOOOONNNNN!
NE ME TUEZ PAS! PITIE! J'AI EU DES ENFANTS S'IL VOUS PLAIT!

Le portugais se met à pleurer!

J'en étais sur! Putain jen étais sur!!

J'ai juste pris quelques cables de cuivre par ci par là... et quelques bout de taule ailleurs... et...
Mais c'était pas mon idée!! J'vous le dis!!

Le portugaiz se fait attraper par le serbe et panique à mort...

NON!! NON, ME TUEZ PAS!
Le portugais essaye de lui attraper le bras qui tient l'arme et gigote dans tous les sens.

Un appel... du Serbe ? pas le sien, celui de Nouanda.

Credi curieuse et non loin de là arrive rapidement sur les lieux.
Elle frappe à la porte qui s'ouvre avant qu'elle ai le temps de songer à le faire elle-même.
Jess devant elle semble tendu et va directement à l'essentiel mais sans oublier leur petit rituel qui lui soutire un infime sourire en coin.

- "C'est lui... ou elle. Il cache des informations. Il a volé des choses pour quelqu'un... faut savoir qui.
C'est dans tes moyens ?"

Mercredi lève un sourcil en direction de la cellule désignée.
Elle ne prends pas encore la clé tendue.

- Tout dépend... Il doit en sortir vivant ? si oui, valide ?

Le sourire en coin s'accentue à l'écoute du trait d'humour du Serbe.
Elle ne répondra qu'a une seule de ses questions.

Elle se saisie de la clé d'une main et prends la roulée à son oreille pour la porter à ses lèvres :

- Je connais toujours pas mon âge.
T'a du feu ?

Clope allumée, elle ouvre son blouson pour l'accrocher près de la porte de la cellule visée.
Ainsi en débardeur et pantalon de cuir, elle se retourne vers Milo pour ajouter quelques mots.

- Ça devrait pas être long normalement.

Et puis *clic* clac* un tour de clé et la lourde porte grince.
Elle s'engouffre dans la cellule obscure en refermant derrière elle.

À l'intérieur, elle observe... l'être... en question. Terrorisé, la gueule en sang.
Ouch, ils l'ont déjà bien abimé...

La lugubre approche d'un pas tranquille, dévoilant son visage sous un jour tout à fait surprenant pour qui la connais.

Un sourire chaleureux sur ses lèvres, elle sors un mouchoir de sa poche et viens s'accroupir à coté du malheureux.

Une main sur son épaule, de l'autre elle lui tamponne doucement le visage pour éponger un peu de sang.

D'une voix douce, elle tente d'entamer le dialogue :

- Et bien. Ils t'ont pas loupé... Comment tu te sent ?

L'homme à tout faire :
Le portugaiz est tout tremblotant(e), mais enfin une personne qui rassure...
Il ne sait plus comment réagir le pauvre, sa tête vide de mec déjà brisé et rebrisé ne sait plus donner les bonnes infos à tout le reste de son corps. Y a plus de capitaine dans l'équipe. Les bras sont en vacances, la vessie ne se contracte plus, les yeux font ce qu'ils veulent, bref c'est l'anarchie au portugal.
Quand elle s'approche, le portugaiz ne bouge presque plus, comme s'il était rassuré, mais quand elle lui éponge le visage il a un spasme, et se protège! De quoi? D'un peu de douceur? Non il le sent pas ça vient du Serbe tout ça... Et on lui avait raconté l'histoire de la pauv' ptite qui s'était fait... Brrrrrr!!! Rien que d'y penser ça le rendait dingue et encore plus hystérique...
Le mec est en position fœtale, il tremblote, il ne dit pas un mot, il regarde la Lugubre terrifié, il le sent pas... il a peur... Il regarde ensuite Mélissa... Il est sur le point de dérailler, il va pas tarder à passer le cap.

LAISSEZ MOI VOUS!
FOUTEZ L'CAMP!
J'VOUS DIRAI RIEN NI A VOUS NI A TOUS VOS AUTRES ANIMAUX DE FERME!
Ca avait jailli bien proprement, et il se releva brusquement.. s'il avait eu un manche à balai sous la main, il l'aurait attrapé et ptete même qu'il se serait vainement battu! Alors il la regarde comme l'abruti qu'il est...

Mercredi :
Mercredi, rapide se redresse et s'écarte, évitant tout contact avec l'homme qui se relève hystérique.
Sourcil levé, elle le fixe, son visage affichant toujours de la bienveillance.
Alors qu'il termine sur une... euh... insulte ? elle prends sa clope entre ses doigts et lève la man en l'air.
De l'autre elle lui tends son mouchoir et lui répond toujours sur le même ton calme.

- Du calme. Tu va pas mourir.
Cela dit prends ça et presse le sur ton nez tu veux ? tu pisse le sang, ça a l'air sérieux.


Le portugaiz :
Toujours aucune question...
Celle ci est différente et fait attention à lui...
Ca la rassure, et... Respirant un bon coup, il prend timidement le mouchoir, la regardant avec méfiance et une curiosité nouvelle.
Il s’essuie le nez se barbouillant de sang au passage.
Bon... pourquoi vous êtes la vous?
Ouais ils m'ont pas loupé... ni le serbe, ni ce mec la...

Mercredi :
Mercredi tourne la tête en direction du zombie.
- Ce mec ..?
Ah ça... c'est Melissa... elle ne fait plus partie de l'espèce humaine il me semble.
La jeune fille recul d'un pas et s’accroupit de nouveau calée contre le mur, face à l'homme, elle porte à nouveau sa clope à la bouche avant de lui répondre en relâchant un nuage de fumée.
- Ce que je fais là ?
Il semble que tu a mis les mauvaises personnes en colère.
C'est le Serbe qu m'envoie comme tu t'en doute.
Petite pause pour tirer une nouvelle taffe.
-Tu veux bien me parler un peu de ce que t'a fait pour en arriver là ?


Le portugais :
Le portugaiz tourne le regard vers Mélissa...
Je ne parlais pas de cette pute!
Je parlais de l'Autre! Celui qui m'a dit de faire tout ça!
Quand elle se met à parler du Serbe, le portugaiz se braque et la regarde avec méfiance...
Quand elle lui pose la question de ce qu'il lui a été fait, le portugaiz cogite pas mal de temps, lent d'esprit qu'il est!
Mais j'ai rien fait moi! C'est la chambre froide qui déconne!
Moi j'ai aucun rapport avec tout ça... enfin... j'espère! C'est pas les quelques fils de cuivres et autres conneries que je lui ai rassemblé qui vont stopper c'te machine? Si? Il m'a promis que ce serait sans danger!!
J'vous jure moi j'ai rien fait!! J'VOUS JURE!!!

Mercredi :
Mercredi ne bouge pas, son expression est toujours la même.
Elle prends un peu de temps avant de répondre.
Lui laisser le temps de bien comprendre chaque mots, autant les siens que ceux de la jeune fille.
- Sans danger ?
Tu vois ce qui t'es arrivé pour ça... tu t'es fait rouler...


Le portugais :
La lugubre remettait à l'aise le portugaiz, il se commençait à désespérer que personne ne l'écoute!
Ouais c'est comme vous dites! J'me suis fait R.O.U.L.E.ER!
Et oui c'est comme vous dites, c'est pas sans danger!
Moi j'vous le dis faut faire attention par ici, y a plein de gens bizarres qui font comme les animaux, enfin c'est ce qu'on dit!
Et puis ce que je fais c'est pour le bien de tout le monde, on va enfin se sortir de tout ce merdier!

Mercredi :
Elle penche légèrement la tête sur le coté.
- Tu devrais lu rendre la pareille...
Ça ne serait que justice, tu n'a pas à payer pour lui.
Petite pause avant de laisser pointer sa curiosité.
- De quel merdier tu parle ?


L'homme à tout faire :
Ce merdier...? Bah les animaux... Tout ça!
Vous m'comprennez ou...?
Le portugaiz lui adresse un regard soupçonneux...
Ouais ça c'est sur j'ai pas à payer pour lui!
Il crache sur le sol...

Mercredi :
- Pourquoi tu lui ferait pas subir au centuple ce que tu a subis ?
Je m'en chargerait personnellement... Tu peux me faire confiance pour ça.
Elle suis des yeux le mollard avant de ramener son regard vers lui.
Sourire en coin qui lève légèrement le voile de douceur, juste assez pour lui faire comprendre qu'elle est tout à fait sérieuse.

Le mec :
Ouais... bah c'est ça le problème...
Il est pas ici.. Il est sur un tiers net.

Mercredi :
- Un tiers net ? Tu m'explique ?
Désolée, je suis pas très maligne parfois... je comprends vite mais faut m'expliquer longtemps

PNJ :
Bah il est connecté aux ordinateurs! Enfin moi j'ai vu que son Na vatar!
Le portugaiz était un peu confus quand il expliquait le truc...
Il me parlait avec un écran d'ordinateur! Ouais c'est comme ça qu'y f'sait!


Mercredi :
- Un ordinateur? mais où tu a eu ça ? à ma connaissance il n'y en a qu'un ou deux ici et sous bonne garde du Serbe qui se les réserves pour ses recherches.

PNJ :
Bah nan... Y'a aussi ceux qui marchent plus... enfin qui marchent parfois.. Et puis même les bornes elles sont sur internet!
En tous cas je sais pas qui c'est!
Mais tout ça c'est pour le bien de la station, alors je l'ai fait!

Mercredi :
- Tu a fait quoi ? explique moi ton plan, ça m'interesse

Le portugaiz :
Bah ce que je sais... c'est qu'on est pas vraiment en sécurité...
Les défenses... *il cherche ses mots...* de la stations... ne sont pas... Oquérationnelles!


Mercredi :
- Et qu'est-ce que tu a fait pour y remédier ?

Le Portugais :
Bah j'ai rassemblé tout le matériel qu'il voulait!

Mercredi :
- Quel materiel ? rassemblé où ? pour en faire quoi ?

Portugaiz :
Ah bah j'ai rassemblé tout ça mais la y'a plus rien!
Et pour en faire quoi bah ça j'en sais rien!
Le mec ou la pauvre était manifestement pas dans le "move"...
Ça cogite grave dans son ciboulot
En tous cas c'est louche tout ça!

Mercredi :
- Plus là ? qui en a fait quoi ? dis moi tout en détail, ton affaire m'interesse
Depuis quelques minutes l'expression sur la figure de mercredi reviens tout doucement à sa froideur naturelle...
La jeune fille commence à se lasser de ce petit jeu.
Mais les signes sont peut être encore trop discrets pour que l'homme le remarque.

Le portugaiz :
Bah euh... c'est sûrement le mec des ordinateurs...
Et ça patine... et ça patine. le portugaiz est vraiment un imbécile et il ne comprend pas tous les enjeux il semblerait.

Mercredi :
Le ton de mercredi se refroidis maintenant, suivant l'expression sur sa figure, elle trahirais presque même un peu d'agacement.
- Il faut que tu me dise ce que tu a pris et où tu l'a mis, même si ça n'y est plus.


Le mec :
Bah je mettais tout dans un monte charge, et après ça disparait...
Y'avait des fils, des cables, deux trois piles et batteries, un peu de taules... et euh... quelques visses et outils qui étaient cachés à droite à gauche!
L'ordinateur me dit quoi prendre! Et je mets dans le monte charge? Facile hein?
Recentant l'agacement, l'homme à tout faire hausse les épaules, signe qu'il en a un peu marre elle aussi.
Bon j'ai tout dit, vous m'sortez de la maintenant?

Mercredi se relève. Passant une mains derrière sa nuque pour se dértendre le coup yeux à demi-fermés avant de retourner vers la porte.

Juste avant de l’ouvrir, elle lâche dans un soupir :

- Je vais voir ce que je peux faire. Ou pas.

*boum* *clic* *calc*
Porte refermée, elle jette la clé à Milo. Mine dépitée.

- C'est un débile congénitale. J'ai pas eu à l’abîmer.
Des cables, batteries, tôles, ... Dans un monte-charge.
Envoyé à un inconnu. Probablement imaginaire qui lui donnerait ses instructions par... "un tiers net"... via un ordinateur.
Si cet "ami" existe alors il est très probablement ici-même.
Je veux bien croire qu'un réseau local puisse encore fonctionner par je ne sais quel miracle, mais sûrement pas internet.
...
Sinon il pisse le sang, envoie lui un doc à l'occasion si tu veux le garder en vie plus d'une semaine

Que fait Milosevik en sortant de la cellule d'Horacio pendant que Mercredi le travaille ?
En toute logique: (Oui, il n'est pas resté à coté.)

1/Appeler trois de ses compagnons en leur demandant de prendre des "chariots" à roulettes.
Pour faire quoi ?
2/Transférer les vivres déjà emballés de la chambre qui n'est plus froide pour les placer dans une qui est froide. Ce n'est pas ce qui manquait au pic.
Ca doit bien prendre une heure.
3/Retour voir/entendre le travail de Mercredi.

" - C'est un débile congénitale. J'ai pas eu à l’abîmer.
Des cables, batteries, tôles, ... Dans un monte-charge.
Envoyé à un inconnu. Probablement imaginaire qui lui donnerait ses instructions par... "un tiers net"... via un ordinateur.
Si cet "ami" existe alors il est très probablement ici-même.
Je veux bien croire qu'un réseau local puisse encore fonctionner par je ne sais quel miracle, mais sûrement pas internet.
...
Sinon il pisse le sang, envoie lui un doc à l'occasion si tu veux le garder en vie plus d'une semaine "

Le Serbe attrape la clef et écoute la petite Gothique.
Elle lui fait un résumé qu'il doit déchiffrer. Donc le Trav se servait à droite et à gauche. Il mettait cela dans un monte-charges. Il communiquait grace à un ordinateur du site. Conclusion: Il ne doit pas y avoir trente six mille monte-charges et ordinateurs ayant échappé à la fouille/passages de quarante cinq personnes. Ca sera vite retrouvé.

- Oui... pas Internet Mercredi. Merci.

A la dernière phrase de la lugubre, Milo lève plusieurs fois les sourcils. Il ira ouvrir la porte de la cellule pour attraper Horacio par les cheveux.

SHLICK

Ca c'est la lame rétractable dans le protège avant-bras du Serbe. La même qui a déjà tué plus de vingt personnes.
La même qui perse la gorge du travesti.
Travesti qu'il tire par les cheveux pendant qu'il se vide... et traîne dans la cellule de Mélissa.

- Cadeau l'Cobaye...

Petit cadeau pour Cas N°13.
Il revient vers sa complice de meurtre et lui dit calmement en nettoyant la lame:

- Une fois que Mélissa mord quelqu'un elle le contamine. Il était condamné. Ce putain de terroriste a mérité son sort.
J'ai mit des jours et des semaines à compacter, emballer et mis sous gelée conservatrice tout ces aliments qu'il a failli foutre en l'air.
Trav de merde. J'ai horreur de ce genre d'enculé.
Excuse ma grossièreté... c'est quand je me retrouve désappointer.

Le balafré pend son émetteur.

- Les gars... vous m'entendez ?
Refermez bien à clef la porte du nouveau cellier. Merci.
Au passage, débranchez tous les ordinateurs que vous voyez ou que vous avez vu... et embarquez les. S'il y en a un pas loin "du/d'un" monte-charges, laissez le et indiquez le moi j'arrive.

Les membres des Flesh and Blood... ok. Tout comme ceux de l'Ordre et de l'équipe d'Aslaug. Tous les autres auront la chance d'être dans la ligne de mire du Serbe. Faudrait pas que ça continue.

(hrp: Si d'autres survivants PNJ sont à l'Outpost du Pic, merci de le signaler. ^^)

Mercredi assiste à l’exécution sans plus de réaction s'il lui avait juste tapoté le dos.

Elle aurais pus être grognon qu'il ne lui accorde pas cette récompense,mais cette homme insipide était sans saveur, ne se défendait pas. Aucun plaisir à l'abattre.

- Excuse ma grossièreté... c'est quand je me retrouve désappointer.

Son attention portée sur les bruits de chair déchirée dans la cellule du cobaye est ramenée sur les derniers mot du serbe.

- Hmm ? c'est rien.

Ce calme froid qui nous fait penser d'être bien heureux d'avoir sa confiance à l'instant lui rappelle quelqu'un.

Après le message radio :

- Et maintenant ? je m'ennuyait un peu... Alors n’hésite pas si t'a encore besoin de mes services.

Le portugaiz aura à peine eu le temps d'émettre un petit cri sourd qui se perdra dans la station... il se sera vidé sans vie.
Pauvre Horacio.

Pendant ce temps ça s'activait, les choses s'organisaient, Milo avait vite géré le truc...
Le temps de trouver les fameux chariots à roulettes...

Ah oui, sympa le concour de chariots à roulette... si le contexte n'avait pas eu le caractère d'urgence, tout le monde se serait bien marré, mais voila, y a des chariots sales, certains les ont nettoyés alors que d'autres ignorent un traitre sens du mot "hygiène"...

Milo voit passer certaines choses que parfois il tente de corriger, mais bon... on peut pas etre au four et au moulin!

10H20... que faites vous?







(HRP : non tu n'as pas d'autres PNJs, sauf si tu en veux trois quatres type techniciens/ technicien de surface...)

10h20

Le répliquant avait effectué ses taches et contacta son Boss via radio.

-"Jess ici Haarbald, le matos de secteur B a entièrement était récupéré; Vous voulez que je tente une détection réseau via neuromat ou que je tente de tirer quelque-chose de...de ces bornes?

A savoir que si je me met online y'a des risques que First tente de me recontacter."

Il observait le matériel informatique devant lui; Un sale pressentiment commençait à le saisir.

Et si...?Non ça serait vraiment pas de bol.
Par sécurité il faudra tout de même qu'il demande à Morganne d'améliorer son fire-wall.