OPERATION VIRUS TRANSMUT

Messages : 68 Date d'inscription : 11/07/2012 Age : 44

Il était silencieux pendant le voyage, comme s'il était en mode veille. Puis...

Sniper... Quelle saloperie. Pour l'instant, pas de blessés pouvant servir de chèvre mais ça ne saurait tarder.

Il fallait généralement deux hommes pour se sortir de ce genre d'embuscades et le bioroïde était conscient qu'il était le seul pourvu d'un inhibiteur de douleur.

Les cibles allaient être multiplié durant la cavalcade, mais autant multiplier les cibles potentiellement dangereuses. Même si l'arme d'Haarbald avait peut de chance d'atteindre le sniper, celui-ci pouvait mordre à l’hameçon.

3/ Pierre : A la première détonation je me place sur le coté du Van pour tenter de flinguer le tireur occupé par Milosevik

Docs: Clancy; Hemming

Messages : 135 Date d'inscription : 15/07/2012

- TOUS AU SOL !

Mercredi toujours plongée dans sa musique a à peine le temps de lever un sourcil vers jess quand la camionnette percute le talus.
Petit vol plané à l'arrière, mais sa chute est amortis par quelque chose... un serbe... blond...
Sans bouger de cette position pas si inconfortable, pour elle, elle range fissa son baladeur alors que Milo donne ses instructions.
Voilà qui devient intéressant. L'adrénaline monte lentement dans le corps de la jeune femme.

Profitant d'un moment où tout le monde semble regarder ailleurs, elle se retourne d'un bon pour se retrouver à cheval au dessus du Kosan.
Il peut lire l'excitation sur son visage.
Elle lui vole furtivement un baiser torride avant de bondir dehors, derrière le véhicule sans lui laisser le temps de moufter.
Accroupis, elle attends la première détonation pour foncer... droit vers le danger, droit dans la direction d'où semble venir le coups de feu.

HRP :
Feuille
4/ A la première détonation je cours vers là ou devait aller le Van, un parking regroupant plusieurs véhicules calcinés.

Messages : 113 Date d'inscription : 21/07/2012

Il l'a bien entendu ce bruit distinctif et si particulier d'une balle meurtrière qui traverse le pare-brise et un être vivant dans la même seconde, et ça malgré le bruit combiné du moteur hors d'âge et le bruit qu'écoute la lugubre. Le chauffeur en premier, de quoi instaurer une belle pagaille et peut être même faire d'une pierre 7 coups mais heureusement le Serbe en chef reprend vite la situation en main et hurle des ordres, Kosan ne se fait pas prier et tente de se faire le plus petit possible à l'arrière du camion, priant sa bonne étoile pour ne pas se prendre une balle avant même d'être sortie de ce cercueil métallique.

Puis un choc, terrible, c'était la première fois qu'il vivait un accident de la route, quelle ironie que ce soit passe après le crash.
Il percute violemment un des cotés du camion et se retrouve sonné sur le coup, au même moment il sent quelque chose qui lui tombe dessus et lui coupe le souffle par la même occasion, dans un mélange des hurlements de Jess qui donne des ordre et le bruit de ceux qui quittent déjà le camion pour se battre Kosan reprend difficilement ses esprits et de sa main droite il vient tâter ce qui lui comprime la cage thoracique: du cuir, une peau aussi douce que ferme et des cheveux lisses qu'il connait bien, pas si terrible que ça l'accident.

Même si pour le moment il a le coeur prêt à exploser, chasser le loup ça allait encore, mais se retrouver ainsi au feu avec des armes qui crépitent, ça fait un moment qu'il n'a pas connu ça.
La pression se relâche un instant pour lui laisser le temps de retrouver un souffle normale jusqu'au moment où il se retrouve face au visage de Credi avec une mine radieuse et il ne tarde pas à sentir les lèvres fines de la jeune femme contre les siennes, laissant leurs langues vérifier que tout le monde va bien. Pas sûr que ça l'aide à retrouver son souffle ou à le calmer mais elle a le mérite de lui remettre les palpitants dans un rythme synchrone.
Il a à peine le temps de glisser ses doigts encore une fois dans les cheveux que la lugubre décolle à l'extérieur, faudrait pas oublier qu'on se bat dehors. Il ramasse son fusils et ses affaires et la suit, au premier coup de fusils du Serbe il la voit courir, ses yeux inquiets s'attardent sur la course de sa tête brulée, espérant qu'ils ne viennent pas de se faire des adieux.
Un coup d'oeil rapide pour voir la position des autres, c'est fou comme une bonne fusillade semble ralentir le temps, puis il se met à détaller vers un autre endroit, ne voulant pas servir de 2eme chance à un sniper, cherchant un endroit à couvert.

Pierre
1/ A la première détonation je cours comme un sprinteur vers la plus grosse bâtisse.

Dr Green et kovak

Sujet: Re: OPERATION VIRUS TRANSMUT Dim 28 Oct 2012 - 0:41

Ils ont du bol de n'être pas tués par l'arrêt brutal du véhicule... En général, quand on se fait descendre, on n'a pas spécialement le temps de faire son créneau correctement. Nouanda s'accroche à la porte arrière pour ne pas se casser lamentablement la gueule et dès que le Serbe a donné ses instructions, poussent les deux battants pour permettre à ses équipiers de sortir sans se gêner mutuellement.

S'ils étaient dans un putain de film pré-apo, Nouanda aurait le temps de dire plein de choses à Milo avant que le tireur ne recommence à les canarder, un vieux ralenti leur donnerait l'occasion d'échanger un regard lourd où l'inquiétude ferait tout un roman, mais ça n'est pas un film. C'est une situation bien réelle, et il n'y a pas le temps pour les sentiments. C'est en dernière position qu'elle sort, encore une fois, ne s'accordant qu'un bref regard, intense, envers l'homme qui va se mettre en première ligne pour leur laisser le temps de sortir.

Quelques mots sortent de sa bouche, crachés alors qu'elle sort, passant à côté de la gamine terrorisée. Un murmure rauque, bas, audible par Tamna seule. Un geste fort éloquent d'un pouce sur sa propre gorge accompagne ses paroles. Juste de quoi la mettre à l'aise, faut bien encourager la bleue, non ?

- S'il lui arrive quelque chose à cause de toi...

Difficile d'obéir aveuglément aux ordres dans une situation pareille. Elle sait pourtant qu'elle ne doit pas rester en vue, que l'inquiétude serait mauvaise conseillère pour un Milo concentré sur le sniper... Et elle n'a pas l'arme qu'il faut pour le shooter d'ici... Quelques secondes après Mercredi, elle prend la même direction qu'elle. Le parking regorge de planques pour qui veut se planquer de la visée d'un tireur... Pour peu qu'il n'y en ait qu'un.

Le but ? Avancer, de véhicule en véhicule afin que l'autre épuise ses balles... avec un peu de chance, il la loupera, et encore plus de chance, elle détournera son attention d'autres qui pourraient réussir à l'atteindre... Ou voudraient pouvoir se mettre à l'abri...

Ciseaux
4/ A la première détonation je cours vers là ou devait aller le Van, un parking regroupant plusieurs véhicules calcinés.

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